Une arme au service de la grande distribution ; les envois de SMS

Une arme au service de la grande distribution ; les envois de SMS

Le Drive est maintenant bien rentré dans les mœurs et pas seulement dans les grandes villes. Quelque soit l’enseigne la procédure est à peu près partout la même. Une fois inscrit sur le site de l’enseigne ou vous donnez l’autorisation d’utiliser votre numéro de téléphone mobile vous pouvez passer votre première commande. Quand votre commande est passée vous recevez un SMS de confirmation des horaires que vous avez choisis pour le retrait de votre commande. Et puis une fois par semaine ou tous les 15 jours on vous envoie un SMS commercial qui vous présente les promotions du moment, on vous envoie aussi un SMS pour votre anniversaire pour vous donner accès à des promotions spéciales. Et puis à chaque début de saison des campagnes par SMS sont lancées pour mettre en avant les produits de saison.
Mais depuis quelque temps il existe un nouveau Drive, le Drive à pied et ce surtout à Paris et cela concerne quelques enseignes mais on peut penser que toutes vont s’y mettre car c’est une véritable arme de conquête des centres ville. En effet dans les grandes villes à part les supérettes qui sont bien présentes mais qui proposent des produits très chers, il existe bien une autre solution, les épiceries de quartier mais là encore les prix s’envolent.
Les populations n’ont que la solution d’aller le week-end se bousculer dans des hypers marchés bondés.
L’idée du Drive piéton a l’air d’être une vraie bonne idée d’autant plus que les produits proposés le sont au même prix que dans les hypers marchés, le client fait en moyenne 30 % d’économie. C’est aussi très rapide, une commande passée à 10 h peut être récupérée à 17 h ; 15000 références sont à disposition du client qui, comme dans un Drive normal passe sa commande sur Internet, reçoit un SMS de confirmation et des campagnes de SMS commerciaux.

Autrefois on approvisionnait au marché, chez le boucher, chez le volailler, chez le vendeur de légumes ou chez le poissonnier ou encore chez le marchand de tissus ou de couleur.
C’est aux États Unis dans les années 1920 que l’on voit apparaître ce qu’on peut appeler un super marché, en fait ce sont des libre service installés dans des hangars et ou les prix sont bien moins chers que ceux pratiqués ailleurs. C’est Clarence Saunders qui dépose le brevet en 1917, il ouvre un premier magasin à Memphis ou on trouve des aliments déjà emballés et vantés par la publicité régulière qu’il fait.
En France c’est en 1931 qu’ouvre le premier Prisunic rue Caumartin, c’est l’ancêtre d’un supermarché, on y vend des articles à bas coûts.
Tout au début des années 50 Édouard Leclerc ouvre un grand magasin à bas prix dans la ville de Landerneau dans le Finistère qui veut faire des offres à prix bas sur tous les rayons du magasin et pas seulement sur certains rayons.
Et l’histoire continue avec les évolutions que l’on connaît.

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